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« Dans votre cas, la présence est l’esprit ; l’absence de présence est conscience, b…

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« Dans votre cas, la présence est l’esprit ; l’absence de présence est conscience, être. Lorsque vous entendez la perspective de la vérité, vous l’écoutez. Il s’agit principalement d’une formulation faisant référence à ce que vous n’êtes pas, c’est-à-dire le corps, les sens et l’esprit. Cette connaissance appartient à l’esprit, se situe au niveau mental. C’est au moment où le maître expose ce que vous n’êtes pas que ce qui est apparaît. C’est une expérience sans expérimentateur, un aperçu de la vérité, un aperçu. Mais il n’y a pas de présence. Personne n’est présent. Autrement dit, il n’y a que Présence, mais cette présence n’est pas objective. Il ne peut pas être connu par l’esprit. Nous nous connaissons principalement dans la relation sujet-objet, mais ce que nous sommes fondamentalement ne peut jamais être un objet. Lorsque vous regardez avec une mauvaise perspective, tout ce que vous cherchez est objectif et tout ce que vous pouvez trouver n’est qu’un objet. Un jour, vous verrez que cela ne vous mène nulle part et dans cette vision il y a un abandon. Quand vous vivez vraiment cette élévation, vous en arrivez finalement à comprendre que le questionneur est la réponse, qu’il n’y a pas de présence objective. Ce n’est que dans l’absence totale de vous-même que l’on peut parler de présence. Et cette présence renvoie à sa globalité. Une fois que vous avez eu cet aperçu, cette perspicacité, alors gardez-la. Vous pouvez vous en éloigner, mais lorsque vous vous souviendrez de vous-même et de la formulation qui vous a amené à ce seuil, vous serez de nouveau amené à cette expérience sans expérimentateur. Vous vous retrouverez dans l’ouverture. L’ouverture ne peut jamais être un objet, car l’ouverture se réfère à elle-même. Devenez ouvert à l’ouverture. Suivez donc la ligne qui vous a amené au seuil de votre perspicacité, l’aperçu de la vérité. Lorsque nous utilisons le mot « présence », nous entendons seulement cette présence lorsqu’il y a une absence totale de vous-même. Ce moment n’est pas conceptuel ; c’est perçu, c’est un sentiment, un sentiment global, pas le sentiment comme lorsque vous ressentez quelque chose. C’est un sentiment sans sentiment. Jean Klein : Living Truth, pp. 225,226


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